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Le réajustement du prix des carburants au Tchad, ne cesse de continuer à susciter des réactions. Plusieurs organisations de la société civile, des partis politiques, notamment la coalition “Nous le peuple”, “Wakit tamma” section politique et le “Groupe de Concertation des acteurs Politiques” (GCAP) ont exprimé leurs désaccord par rapport à cette décision. Par une conférence de presse organisée le samedi 24 février 2024, ces organisations ont lancé un appel à la population tchadienne d’observer une journée ville morte sur toute l’étendue du territoire nationale ce lundi 26 février 2024.

En ce jour du lundi 26 février 2024, la journée ville morte lancée par ces organisations semble n’est pas entendue par la population. De boulevard Ngarta Tombalbay en passant par l’avenue Maldom Bada Abbas et Charles De Gaule, jusqu’à l’avenue Maréchal Idriss Déby Itno ex-Moboutou, l’engouement est le même, rien n’explique Une ville morte. La population vague normalement à ses occupations quotidiennes. Tous les marchés de la ville de N’Djamena sont ouverts et fonctionnement normalement.

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