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La grève d’avertissement d’une semaine, lancée par les organisations syndicales pour protester contre la décision du gouvernement sur l’augmentation du prix des carburants, a été largement suivie dans les secteurs de l’éducation, de la santé et autres services publics, en ce jour du mardi 20 février 2024, dans la ville de N’Djamena.

Tôt ce matin plusieurs élèves des établissements publics ont pris le chemin inverse de l’école, les enseignants ne sont pas venus, suite au mot d’ordre de grève lancé par les organisations syndicales.

A N’Djamena, tous les grands établissements d’enseignements publics, sont restés fermer, les cours sont vides. Dans les grands hôpitaux publics, l’ambiance est trés timide, c’est juste le service minimum.

Le secteur de transport à travers le collectif des syndicats et coopératives des transports urbains et interurbains quant à lui, donne un préavis d’arrêt de travail de 48 heures au gouvernement afin d’annuler sa décision sur l’augmentation du prix des carburants. Passé ce delai, le collectif appelle ses militants à un arrêt de travail de trois jours renouvelable, à compter de jeudi 22 février 2024.

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