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La ville de N’Djamena connaît une crise énergétique sans précédent en ce début de mois de mars 2024. Ca fait plus de 20 jours que les ménages de la ville de N’Djamena sont plongés dans l’obscurité et surtout en cette période de mois de Ramadan.

Cette crise énergétique ne passe pas sans conséquences, paralysant ainsi toutes les activités commerciales dépendantes de l’électricité. Des salons de coiffure aux cybercafés, en passant par les restaurants, les pâtisseries, les boulangeries et les commerces en ligne, tous ressentent les contrecoups de cette crise énergétique. Des citoyens mis au chômage forcé à cause d’énergie, et qui ne cherchent leur salut qu’auprès des hautes autorités du pays afin de trouver de solution définitive à cette crise qui a trop durée.

Malgré les efforts et les promesses répétées d’une solution définitive à la crise énergétique, les engagements restent lettre morte, laissant la  population dans l’incertitude et le désarroi.

Le président de la Transition avait promis tripler les capacités de production énergétique en 2023, une promesse qui demeure en suspens. Malgré la récente nomination d’un général de division à la tête de la SNE, l’espoir d’une amélioration s’est avéré vain.

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