À N’Djamena, le prix du sac de ciment de 50 kg a grimpé de manière alarmante. Autrefois vendu entre 7500 et 8000 FCFA, il atteint désormais 9500 voire 10 000 FCFA. Ni les producteurs, ni les commerçants n’ont fourni d’explications sur cette augmentation soudaine, laissant la population perplexe et frustrée.
Cette flambée des prix impacte gravement les projets de construction et de rénovation des résidents. “C’est de la spoliation !”, s’indignent beaucoup de N’Djamenois, qui estiment cette hausse injustifiée et insupportable.
Face à cette situation, la population appelle les autorités à intervenir. Il exhortent le gouvernement à éclaircir les raisons de cette hausse et à trouver une solution rapide pour stabiliser le marché.
En attendant, les projets de construction stagnent, et la colère gronde. Les N’Djamenois espèrent des mesures concrètes pour un retour à des prix raisonnables, permettant ainsi de relancer l’activité du bâtiment et d’assurer un avenir plus stable pour tous.