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Ce jeudi 3 avril 2025, la Police Nationale a procédé à la présentation de vingt-deux présumés malfrats impliqués dans diverses activités criminelles. Parmi les délits répertoriés figurent l’escroquerie, l’arnaque et l’abus de confiance, révélant l’ampleur des réseaux criminels, même depuis les maisons d’arrêt.

Une escroquerie depuis la prison

Dans une affaire des plus surprenantes, des détenus ont réussi à usurper l’identité du Ministre de la Justice et des Droits Humains pour piéger un éleveur. Prétendant mener une mission officielle, ils ont extorqué deux bœufs à leur victime. Ces animaux ont ensuite été vendus avec la complicité d’acolytes en liberté, et l’argent de la vente a été partagé entre les escrocs. Ce stratagème met en évidence les failles de sécurité au sein des maisons d’arrêt, notamment l’utilisation illégale de téléphones portables.

De faux informateurs de police démasqués

Dans un autre dossier, la police a interpellé un groupe de malfaiteurs se faisant passer pour des informateurs de la police. Lors de leur arrestation, les forces de l’ordre ont saisi des munitions ainsi qu’une somme de 750 000 francs CFA. Fait troublant, un policier figure parmi les accusés et est soupçonné d’agressions multiples, démontrant que la criminalité peut également toucher les rangs des forces de l’ordre.

Réaction des autorités

Le Contrôleur Général Paul Manga, Porte-Parole de la Police Nationale, a réagi avec fermeté en dénonçant l’usage incontrôlé des téléphones par les détenus : “Nous interpellons les gardiens de prison sur l’usage des téléphones par les détenus. Cette affaire démontre à quel point ces outils restent un moyen de communication privilégié pour les criminels. Il est impératif de renforcer les mesures de surveillance pour éviter de tels actes.”
Concernant l’implication d’un policier parmi les malfrats, il a souligné l’importance de l’exemplarité au sein des forces de l’ordre : “Même au sein des forces de sécurité intérieure, il existe des éléments déviants. Nous ne tolérerons aucun comportement criminel, quel que soit le statut de l’individu concerné. La police nationale poursuivra sans relâche sa mission de protection des citoyens.”

Une collaboration police-population fructueuse

Ce coup de filet retentissant met en lumière l’efficacité de la collaboration entre la police et les citoyens. Grâce aux renseignements recueillis, les forces de l’ordre ont pu identifier et interpeller les suspects, rappelant ainsi que la loi finit toujours par rattraper les délinquants.

Ces individus sont désormais entre les mains de la justice et devront répondre de leurs actes devant les tribunaux, envoyant un signal fort à tous ceux qui s’adonnent aux activités illicites : la tolérance zéro est de mise face au crime organisé.

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