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Depuis le lancement de l’opération de contrôle des pièces de véhicules le lundi 15 juillet 2024, une vague de mécontentement a déferlé parmi les usagers. Ces derniers dénoncent les abus des agents de sécurité impliqués dans la commission de contrôle et pointent un désordre généralisé dans le déroulement des opérations.

Malgré la possession de tous les documents requis, certains automobilistes se voient immédiatement envoyés à la fourrière dès leur interception, où des pratiques de corruption semblent monnaie courante. En effet, des demandes non répertoriées dans le communiqué officiel du directeur général de la police nationale, telles que le port de chaussures fermées ou la possession d’une trousse médicale, sont exigées sous peine de sanctions financières.

Les usagers affirment que cette commission ne fait preuve d’aucune distinction, maltraitant aussi bien les citoyens ordinaires que les personnalités publiques en cas de malentendu. Face à cette situation, ils en appellent aux plus hautes autorités pour recadrer les agents et leur rappeler les principes déontologiques de leur profession.

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