Chaque matin, aux environs de 7h à 8h, le pont à double voie est bondé de monde. Et cela se répète aux heures de la pause et dans la soirée. Pour traverser ce pont, c’est le parcours d’un combattant. Il est impossible de traverser cet axe à moins de vingt (20) minutes. Les coups des classons des voitures et des motos se font entendre de manière interminable. Cela entraine des injures ou des maladresses entre les passants car tout le monde semble être pressé.
Malgré la présence de la police qui régule la circulation, le désordre s’installe toujours.
Cette situation n’est pas sans conséquence sur la vie des usagers. Les accidents de circulation surviennent souvent, ce qui alourdi davantage la circulation. Certains qui comptent rejoindre plus rapidement leur lieu de service arrivent avec beaucoup de difficulté. A cela, s’ajoutent sans doute les personnes malades qui veulent aller à l’hôpital pour se faire soigner.
Le pont en construction à Walia allègera la tâche aux habitants de Walia, Ngueli, Digangali, Toukra et Koundoul. Car les populations de ces quartiers ont dû mal à rejoindre le centre-ville où à rentrer chez eux.