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Le rêve tchadien n’est pas une utopie. Il prend forme, s’exprime, et se concrétise à travers l’art et la culture. C’est le message fort et vibrant qu’a porté l’artiste 𝐌𝐚𝐰𝐧𝐝𝐨é lors de la deuxième édition du festival “Au cœur de l’art”, organisée ce vendredi 18 avril 2025 à N’Djamena.
Portée par l’association Au nom de l’art, cette initiative artistique et culturelle s’impose désormais comme un événement incontournable, autant pour la scène tchadienne que pour les horizons africains et internationaux. Cette année encore, l’engagement et la passion de Mawndoé ont réuni des créateurs, des penseurs et des amoureux de l’art autour d’un rêve commun : croire au Tchad, croire en la force transformatrice de la culture.


La cérémonie d’ouverture a été présidée par Abakar Rozzi Teguil, ministre du Développement Touristique, de la Culture et de l’Artisanat, représentant pour l’occasion le Premier ministre Allah-Maye Halina. Dans un discours empreint d’émotion et d’enthousiasme, le ministre a salué l’engagement des artistes et la vision de Mawndoé. Il a souligné l’importance capitale de la culture, qu’il a définie non comme un luxe, mais comme « un droit, un levier de développement, un instrument de paix et un catalyseur de transformation ».

Faisant écho au slogan phare du festival, il a déclaré : « À défaut de changer le monde, on peut changer le Tchad. Et cela commence ici, maintenant, par la culture. »

Ce message s’inscrit pleinement dans la vision du président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, qui a élevé la culture au rang de priorité nationale en lui consacrant un chantier entier dans son programme politique. Cette orientation claire donne un nouvel élan à la créativité locale et encourage les initiatives comme celle de Mawndoé, qui deviennent des vecteurs d’espoir, de cohésion et de développement.

Plus qu’un simple festival, Au cœur de l’art est devenu un symbole : celui d’un pays qui croit en sa jeunesse, en ses talents, en son potentiel créatif. Le rêve tchadien existe bel et bien — et il se construit, scène après scène, toile après toile, vers après vers.

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